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  • Cybersécurité 2024 : principales menaces informatiques et 5 bonnes pratiques pour éviter les attaques

    L’ANSSI vient de publier son 3e rapport annuel détaillant les menaces sur la sécurité des systèmes d’information constatées en 2023 : types d’attaques, profil des cybercriminels, typologie des entités victimes… Le constat est sans appel : le niveau de menace informatique est en constante augmentation. Avec toujours les TPE/PME comme cibles privilégiées car jugées vulnérables par des hackers bloquant l’accès à leurs données ou leur système informatique via un logiciel malveillant (malware) avec une demande de rançon pour le rétablir.

    Spécialiste en sécurité informatique, CIMRA fait le point sur les tendances de la cybersécurité 2024 : les principaux risques de piratage informatique et 5 bonnes pratiques mises en œuvre en interne pour protéger votre entreprise contre les cyberattaques.

    Différents types de menaces à la sécurité IT en 2024

    Exploitation de nombreuses faiblesses identifiées par les pirates informatiques

    Exposition d’appareils non sécurisés sur internet, hameçonnage, vulnérabilités logicielles, erreurs de configuration, habitudes préjudiciables dans la gestion des droits d’accès, retards dans l’application des correctifs émis par les éditeurs… Parmi les menaces actuelles, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d‘information (ANSSI) constate effectivement que les attaquants profitent autant des failles de sécurité des systèmes informatiques (faiblesses techniques) que des mauvaises pratiques humaines (menaces internes)

    Voici quelques exemples des incidents de sécurité signalés à l’ANSSI :

    • Vulnérabilité jour-zéro (zero-day) due à une faille informatique encore non connue de l’éditeur (pas de correctif publié) mais détectée par un groupe de hackers.
    • Attaque informatique par chaîne d’approvisionnement logicielle (software supply chain attack) due à un manque de sécurisation des environnements de développement, intégration et test. Le cybercriminel insère un code malveillant dans un logiciel avec comme objectif d’entrer dans les systèmes d’information des utilisateurs de cette solution logicielle.
    Cimra Informatique Services, expert en sécurité informatique

    L’intelligence artificielle (IA) dans la cybercriminalité

    Si l’IA peut être mise au service de la cybersécurité, les hackers peuvent également s’en servir pour créer des attaques plus sophistiquées comme :

    • Composer des messages de phishing presque indétectables et plus convaincants.
    • Générer des deepfakes en visioconférence pour une arnaque au président très crédible et escroquer les entreprises victimes.
    • Développer des logiciels malveillants plus sophistiqués.
    • Identifier facilement les vulnérabilités de multiples programmes…

    C’est tout l’enjeu de 2024 et des années à venir : concevoir des systèmes de sécurisation basés sur l’IA pour se protéger plus efficacement des cyberattaques elles-mêmes générées par l’intelligence artificielle.

    Risques d’attaques informatiques accrus via les objets connectés (IoT)

    De plus en plus utilisés dans le milieu professionnel, les appareils intelligents représentent une menace pour la sécurité du système d’information d’une entreprise. En effet, ces équipements ne proposent généralement pas de configurations suffisamment sécurisées.

    Les experts en hacking l’ont bien compris : ils identifient leurs failles potentielles et les exploitent pour pirater leurs cibles.

    À noter : l’ANSSI alerte également sur l’augmentation de détection d’incidents concernant la compromission de téléphones portables professionnels pour mener des opérations malveillantes (espionnage…).

    Phishing avancé : un risque informatique en augmentation

    Cette technique fait partie des menaces grandissantes en matière de sécurité informatique.

    L’attaquant se fait passer pour un tiers de confiance (banque, opérateur téléphonie, administration…) afin de dérober des données confidentielles (coordonnées bancaires, informations d’authentification comme les mots de passe) auprès des victimes ou les rediriger vers des sites web malveillants… Pour atteindre son objectif, il usurpe les identités des organismes pour envoyer des mails ou SMS frauduleux.

    Notamment avec l’IA, la détection des attaques de ce type est plus difficile, tant les messages envoyés semblent légitimes.

    À noter : désormais, le phishing compte plusieurs sortes d’attaques comme le quishing (via QR code), l’ingénierie sociale ou le spear-phishing (hameçonnage ciblé).

    Recrudescence des attaques externes via ransomware

    Les chiffres de l’ANSSI le confirment : + 30 % de signalements des cyberattaques par rancongiciel avec toujours les TPE/PME/ETI comme principales cibles. Dans ce cas-là, les cybercriminels empêchent les entreprises d’accéder à leurs fichiers ou appareils grâce à des logiciels malveillants (malwares). Pour y avoir à nouveau accès (obtenir la clé de chiffrement ou le déblocage du système), les cibles doivent verser une rançon.

    Mais dernièrement, ce type d’attaques a évolué vers une double, triple voire quadruple extorsion : vol de données sensibles avec menaces de divulgation, menaces exercées sur les partenaires/clients de la cible initiale…

    À noter : en vue d’extorquer des fonds, un pirate informatique peut également mener une attaque par déni de service distribué (DDoS). Il sature le réseau informatique de l’entreprise visée (serveur, site web…) jusqu’à le rendre inaccessible grâce à des botnets (diverses sources compromises).

    Cybersécurité 2024 : 5 bonnes pratiques appliquées par CIMRA pour protéger votre entreprise

    Anticiper les menaces, c’est la mission remplie par CIMRA.
    Pour y parvenir, notre équipe ajuste constamment son expertise en sécurité informatique au fur et à mesure des évolutions constatées. Comment ? En étant proactive avec plusieurs opérations menées conjointement :

    • Veille continue, toujours à l’affût des nouveaux risques cyber
    • Vérification systématique des alertes de l’ANSSI
    • Actions correctives appliquées dès qu’une vulnérabilité ou menace à la sécurité est signalée.

    Comme le recommande l’ANSSI, la sécurisation des systèmes d’information passe par une stratégie de sauvegarde respectant la règle 3-2-1 : 3 copies sur 2 supports différents avec 1 sauvegarde hors site.

    Votre partenaire expert en sécurité informatique va au-delà de cette préconisation officielle !

    En effet, pour garantir une protection des données maximale, CIMRA applique une solution 3-2-2 (2 sauvegardes externalisées)

    La prévention des attaques passe par une surveillance en temps réel de votre infrastructure informatique. Grâce à des logiciels RMM (Remote Monitoring and Management) et aux alertes émises automatiquement, CIMRA est en mesure de détecter un incident (risque d’intrusion) et d’intervenir de manière précoce avant qu’il ne soit préjudiciable.

    Bon à savoir : pour sécuriser le système d’information de votre entreprise de manière efficace, CIMRA réalise systématiquement un audit de sécurité informatique (avec si besoin un test d’intrusion).

    C’est l’une des mesures de sécurité recommandées par l’ANSSI.
    En effet, malgré toutes les solutions de sécurisation informatique mises en œuvre pour prévenir les attaques potentielles, votre entreprise n’est pas à l’abri d’être victime d’un piratage.

    Pour en limiter les conséquences (perte de données, de temps et de revenus), nos experts en sécurité informatique se mobilisent avec réactivité. Conscients des enjeux, nous activons un PCA ou PRA. Grâce à une infrastructure de sauvegarde optimisée, nous restaurons l’intégralité de vos données et remettons en service les outils informatiques de vos postes de travail au plus vite selon la criticité de la cyberattaque.

    Vous reprenez ou poursuivez sereinement votre activité dans les meilleurs délais

    La mise en œuvre de moyens de sécurisation (antivirus, pare-feu, sauvegardes) ne suffit pas à protéger des attaques votre TPE/PME. En effet, il peut s’agir d’une menace interne. Concrètement, l’un de vos collaborateurs peut être à l’origine d’une erreur humaine due à une méconnaissance des bonnes pratiques ou à une négligence. Par exemple : télécharger une pièce jointe contenant un fichier infecté.

    En matière de lutte contre la cybercriminalité en entreprise, la formation des utilisateurs est un levier essentiel à ne pas négliger. C’est pourquoi CIMRA veille à sensibiliser votre équipe et à la former à la sécurité des systèmes d’information (SSI). Nos experts partagent leur expérience éprouvée dans ce domaine.

    Bon à savoir : chez CIMRA, nous proposons des solutions de sécurité informatique adaptées aux risques, au souhait de l’entreprise et à sa criticité, mais également les moins contraignantes pour les utilisateurs au quotidien

    Les types de menaces sur la sécurité IT

    Assurer la cybersécurité en 2024 est d’autant plus une affaire d’expert. Mieux vaut déléguer cette mission à une entreprise spécialisée en sécurité informatique. C’est le cas de CIMRA. Depuis plus de 15 ans, nous mettons tout en œuvre pour limiter les attaques des systèmes d’information de nos clients en Rhône-Alpes ou réagir de manière adéquate et réactive en cas de piratage.